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 i want some more ζ babsi.

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Emmett-J. Castellans

Santa Barbara accueille un nouvel habitant. Il s'agit de Emmett-J. Castellans. En espérant que tu aimes le commérage, car ici se faire bien voir est une priorité.


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MessageSujet: i want some more ζ babsi.   i want some more ζ babsi. EmptyMar 15 Mar - 17:12

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i kinda wanna be more than friends


L'impression est très étrange, et indescriptible. Cela fait bien plusieurs longs mois que l'on a enseveli le corps sans vie de mon père et, pourtant, je ne réalise rien. J'ai vu la terre que l'on a jeté sur le cercueil, la poussière qui s'est glissée sur le bois foncé. J'ai vécu ces évènements, mais pas comme si j'avais réellement été là. Je n'ai été qu'un spectateur et mes pas se sont automatisés, sans que j'en prenne conscience. Petit à petit, néanmoins, le sentiment de réalité s'immisce en moi, se creuse un chemin comme un serpent venimeux et réveille la souffrance que j'avais sciemment anesthésiée. Ma chambre est plongée dans l'obscurité, je suis allongé dans mon lit, les bras derrière la tête, les paupières closes, comme si je cherchais à mettre une distance de sécurité entre la réalité et ma personne ; j'ai les yeux fermés, mais je connais tout. J'ai déserté la ville, la maison, la famille, quand j'ai atteint les dix-neuf ans et, tout est pourtant resté horriblement similaire. La présence de mon père, de mon héros, en moins. C'est le pire ; avec une indicible souffrance, je remarque que le monde continue de tourner alors que le mien, mon monde personnel, s'est arrêté. Dans l'équation de ma vie, il y a toujours eu beaucoup d'inconnus : ma mère en est par ailleurs la première puisqu'elle nous a abandonné peu après la naissance d'Indie. Mais parmi ces inconnues, il y a la stabilité, il y a le paramètre connu, il y a mon père ; ou, du moins, il y avait. J'ouvre les yeux, les fixe au plafond et inspire profondément, me redressant au bord du lit, tentant de retrouver un semblant de courage, un semblant de conscience. J'ai l'impression que le sol s'est ouvert et qu'il m'a englouti ; moi et toutes mes certitudes. Pourtant, c'est un mensonge, une illusion, un mauvais rêve.

Dans l'équation de ma vie, il y a un autre paramètre stable et cette personne dort dans la bâtisse de l'autre côté de la rue. Tandis que je songe à ses cheveux dorés qui ondulent doucement sur ses épaules, des épaules que j'ai souvent effleurées du bout des doigts et dont la soie me rend, pour ainsi dire, aussi fou que les baisers qu'elle m'a offert dans le passé. Babsi, officiellement, est ma meilleure amie, le sol stable sur lequel j'avance, le roc sur lequel je m'appuie lorsque je suis à bout de souffle. Elle est en peu plus quand j'y songe en solitaire, quand j'imagine les sourires qu'elle me lançait il y a quelques années. Elle est plus lorsque je repense aux nuits qu'on a partagées. Et c'est une de ces nuits ; une de celles que je veux voir disparaître à ses côtés. Indie est rentrée quelques heures plus tôt, je la devine endormie au fond de ses draps, et je sais qu'elle ne se réveillera probablement pas avant le milieu de la matinée ; nous avons tous les deux une bonne dose de sommeil à rattraper. Alors j'exécute le plan qui s'est rapidement et vaguement formé dans mon esprit ; je me lève, m'approche de la fenêtre, l'ouvre et tente d'en sortir comme je le faisais à mon adolescence. Mes mains retrouvent leur agilité d'antan, les réflexes me viennent comme si je n'avais jamais arrêté cette activité - je l'avoue - particulière. Ma main droite se pose sur la branche, la gauche me tire en avant et je plonge dans l'obscurité.

Je suis rapidement sur le gazon ; je suis beaucoup moins souple qu'à mes dix ans mais le saut de la fin me paraît beaucoup moins élevé que dans le temps, et je n'ai aucun mal à me remettre de l'escalade. Je jette un rapide coup d'oeil alentours : la rue est plongée dans l'obscurité, seuls les réverbères envoient leurs flèches de lumière dans un coin ou l'autre de la route, illuminant le bitume que je frôle de mes pas pressés. J'arrive devant la haute bâtisse en quelques secondes, je me lance sur le sentier qui mène à l'entrée, grimpe les quelques marches du perron et... attends devant la porte. Selon la montre que je porte au poignet, il est bientôt trois heures du matin. Dans la maison, tout est évidemment endormi, et les habitants aussi. Je n'ai pourtant aucun scrupule à m'y introduire ; je sais où est cachée la clé, la famille Winikase en a toujours planqué une sous un pot de fleurs à gauche de la porte. Après avoir habité à Miami et maintenant que je suis devenu le sous-shérif, je trouve ce comportement inadapté, risqué mais je me souviens rapidement que, dans le quartier, tout le monde se sent en sécurité. Je me promets néanmoins d'en toucher quelques mots à la principale intéressée ; juste au cas où. Prudemment, j'enfonce la clé dans la serrure et j'entre, refermant et tournant le verrou derrière moi. Si l'une des sœurs se réveille à ce moment, je risque de me prendre un coup de poêle à frire derrière la tête, alors j'essaie de faire le moins de bruit possible en m'approchant de la cage d'escaliers. Je monte les marches lentement, sans toucher à rien et sans enclencher la lumière, mon but n'étant pas de les faire mourir de peur mais seulement d'être avec Babsi. La porte de sa chambre apparaît à ma vue, mes pas deviennent complètement automatiques ; mes gestes sont entièrement automatisés. Ma main se dépose sur la poignée et j'entre.

❝ Babe ? ❞ Ma voix n'est qu'un souffle, qui s'étrangle dans les tréfonds de ma gorge lorsque j'aperçois le corps frêle assoupi sous les draps. J'en ai mal au cœur, et je maudis mon comportement de gamin pourri gâté. De quel droit m'introduis-je donc dans une maison qui n'est pas la mienne, dans une chambre qui n'est pas la mienne ? Mes scrupules disparaissent soudainement ; combien de fois Babsi m'a-t-elle réveillée en pleine nuit en venant me rejoindre dans mon lit ? Certes, nous étions alors des enfants, ou des adolescents, mais cette pensée me donne un sentiment de tous les droits. Je continue alors de m'approcher, me penche au-dessus de son visage.❝ Réveille-toi... ❞ je reprends en balayant une mèche dorée de devant ses paupières closes. Je sens un mouvement, et cela m'encourage. ❝ Ce n'est pas une cachette en or, ce pot de fleurs. N'importe qui peut trouver la clé. ❞

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Dalton Babsi Winikase

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SANTA ✈ BOX
âge du personnage: vingt cinq ans
votre rêve: je rêve pas, je vis
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MessageSujet: Re: i want some more ζ babsi.   i want some more ζ babsi. EmptyJeu 17 Mar - 18:37


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big wheels keep on turning


« Sweet home Alabama, where the skies are so blue.. ue.. ue ». Le sons est si fort que je sens presque mes tympans vibrer dans mes oreilles au rythme de la guitare. J’ai toujours adoré chanter ces vielles chansons à tue-tête dans ma voiture et aujourd’hui ne déroge pas à la règle, surtout après une telle soirée. Tandis que mon pied appuis sur l’accélérateur j’entame le second couplet « in Birmingham they love the governor, now we all did what we could do … ». Le vent frais de la fin de soirée passe par la fenêtre ouverte et chasse, d’une simple caresse sur mon visage, tout mes soucis. Je n’ai pas été bosser depuis trois jours maintenant, d’après Luv’ et son dernier bouquin de science fiction, je serait atteinte de l'Amor Deliria Nervosa mais, je n'en crois pas un mot. Ce n'est qu'une petite phase de déprime et je la doit surement à tout les efforts que je fait pour éviter mon ami d'enfance depuis son retour à Santa-Barbara. Merci petite sœur. Je pense surement trop fort parce qu’à cette instant la blondinette, assise coté passage, tourne son visage dans ma direction et me gratifie du plus beau des sourires. Sans attendre la fin des paroles je clique sur le bouton qui entraine la chanson suivante. Et les premiers accords résonnent a peine dans l’habitacle que nos deux voix entament en cœur. « i never promised you a ray of light, i never promised there'd be sunshine every day ». Une fois devant la maison j’engage la voiture dans l’allée. Luvlee se précipite à l’extérieur et file ouvrir la porte d’entrée tandis que je referme et verrouille ma jolie boite de conserve.

Dans la maison, ma blondinette de sœur, est excitée comme une puce et je suis prise de court lorsqu’elle ajoute « Il était plutôt mignon le chanteur et ne me dis pas que tu n’as pas remarqué que tu lui avais tapé dans l’œil ». Décidemment elle est vraiment incroyable et calmement mais pas moins sur le ton des reproche je lui réponds « Luv’, ce n’est pas la bonne technique tu sais.. » Et comme une enfant elle baisse les yeux, soupire et monte à l’étage sans relevé. Je sais qu’elle ne m’en veut pas réellement, qu’elle comprend parfaitement à quel point il m’est difficile de faire face au retour d’Emmett parmi nous. Et plus particulièrement, à ma lâcheté, qui me pousse à l’éviter autant que possible. Pares avoir posé mon sac et ma veste au porte manteau, je décide de suivre son exemple et d’écouter ma fatigue. Je monte une à une les marches de l’escalier, puis une fois en haut, après m'être démaquillée, passée de l’eau sur le visage et avoir enfilé une tenue plus confortable. Je me glisse entre mes draps frais. Je ne prends pas la peine de fermer les volets et je crois que secrètement j’espère, par ma fenêtre, un signe d’Emmett. Un signe qu’il ne m’a pas effacée de sa vie malgré les années.
Lorsque je ferme les yeux, la première image qui s’impose à moi est son visage ; le visage d’Emmett que je connaissais quand j’étais gamine. Celui avec qui je passais mes nuits dans l’innocence de l’enfance. Celui avec qui je ne me prenais jamais la tête, mon compagnon de jeu. Pourtant mon cœur s’accélère à la vision de la bêtise à laquelle nous nous sommes tout deux adonnés et mes yeux s’humidifient lorsque le visage du gamin se mue en celui du jeune homme qu’il est devenue aujourd’hui. Ma respiration se hachure et j’ai mal, je souffre de le savoir si près et si loin à la fois. Mon coté égoïste aurait même préféré qu’il ne remette jamais les pieds ici mais dans la réalité je ne sais que trop bien à quel point j’ai besoin de lui. Et je sombre, le cœur lourd, dans les bras de Morphée.

« Babe ? (…) Réveille-toi... » Je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe, que la voix que j’entends n’est pas seulement le fruit d’un rêve mais, qu’il est bel et bien là. Penché au dessus de mon lit. Emmett.. Je me contente de me retourner, pour me retrouver sur le dos. Puis je sens comme une caresse timide sur mon visage, et un air tiède flotter au dessus de moi. « Ce n'est pas une cachette en or, ce pot de fleurs. N'importe qui peut trouver la clé » Cette fois la voix est distincte et m’arrache du sommeil avec la dure force de la réalité et j’ouvre les yeux sur pire encore. « Ouaa.. » je pousse presque un cri, presque parce que je referme la bouche presque immédiatement. Je reste là, allongée, la tête sur l’oreiller, quelques minutes. Mon corps entier est raide, chacun de mes muscles c’est contracté avant même que je ne comprenne où je me trouvais et ce qu’il se passait exactement. Dans la lueur de la nuit son visage est recouvert par certaines parties d’ombre mais, ses yeux ont toujours cette couleur étrange et indéfinissable qui m’attirait indéfiniment à eux. « Em.. Emmett ? Mais qu’est ce que tu fiche ici bon sang ? Et comment, comment es-tu entré ? ». J’ai toujours cette habitude de buter sur certains mots de ma phrase quand je suis mal à l’aise ou surprise et je sais qu’intérieurement il est probablement en train d’en rire mais, je m’en fiche éperdument. Tout ce qui m’importe à cet instant ; c’est lui. Lui et ses yeux, ses lèvres, ses bras et tout le reste. Cette occasion, et la protection de l’obscurité, qui me permettent enfin de lui dire tout ce qu’il ne sait pas encore.
Je me redresse avec quelques difficultés, mon regard toujours planté dans le sien, attendant qu’il fasse ou dise quelque chose qui me détende. Qui brise ce silence gênant, qui hante ma chambre.

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Emmett-J. Castellans

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MessageSujet: Re: i want some more ζ babsi.   i want some more ζ babsi. EmptyVen 18 Mar - 16:31

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we play pretend


Son corps est immobile, mais je sens presque les frissons qui parcourent sa peau lorsque ma voix s'élève dans le silence de la pièce, le brise sans ménagement. Je me redresse lentement tandis que j'observe battre ses paupières, ses yeux se tourner vers en moi en un regard interrogateur. Et puis, elle pousse un cri, alors je m'installe sur le bord de son lit et tend les doigts que je perds dans ses mèches dorées, comme un geste de réconfort. Je n'ai pas besoin de parler, juste de lui prouver que ma présence n'est pas un rêve ; que son meilleur ami est bel et bien là, qu'il est de retour en ville depuis plusieurs mois à présent, et que tout cela est une réalité. Je la connais suffisamment pour connaître la moindre de ses pensées, du moins c'est ce dont je me vante, et je sais qu'elle se demande encore si c'est un mauvais tour de son cerveau encore embué par le sommeil ou si ma présence est un fait véridique. Je la laisse faire son cheminement toute seule, je me contente de faire papillonner mes doigts à travers ses cheveux, j'effleure délicatement son front ; mes traits se tordent en un sourire triste. Je ne sais pas combien de temps nous passons dans ce silence ; un silence qui n'est guère pesant en ce qui me concerne, mais les minutes s'allongent indéfiniment. Enfin, Babsi semble sortir peu à peu de sa torpeur ; son esprit semble avoir statué sur mon sort et avoir décidé que je suis bel et bien devant elle, assis sur le bord de son lit, mes doigts ne cessant de chercher le contact avec elle. ❝ Em... Emmett ? Mais qu’est ce que tu fiche ici bon sang ? Et comment, comment es-tu entré ? ❞ Je souris face à tant de surprise et hausse doucement les épaules en m'enfonçant dans le silence. Je suis rentré parce que sa sœur et elle font preuve d'une très insuffisante méfiance. D'ailleurs, je me réjouis qu'elle n'ait pas posé la véritable question : pourquoi suis-je ici ?

Si elle l'avait fait, qu'aurais-je pu répondre ? Sinon la vérité ? Je ne suis même pas certain de connaître le fin mot de ce manège, mais il me semble que j'avais simplement besoin de sa présence, comme j'ai besoin des particules d'oxygène que je respire, qui remplisse mes poumons et apporte la vie à mon corps. Ma relation avec Babsi est de ce genre : vitale. Je le remarque à présent que je revis à ses côtés, après toutes ses années passées à éviter le moindre contact avec mon passé. La présence de la jeune femme m'est devenue un besoin, une véritable nécessité. Je crois que c'est pour cette raison que je suis là, jaloux et envieux, que je recherche constamment son attention, que je refuse, au fond de moi, la possibilité qu'un autre - et même une autre - compte dans sa vie. C'est mon horrible vérité : je veux être le seul. ❝ Disons que tu devrais mieux planquer ta clé. ❞ Je lâche après qu'elle s'est redressée et qu'elle m'a adressé un regard scrutateur. ❝ Je t'apprendrai. ❞ j'ajoute avec un bref sourire complice, faisant sciemment référence aux talents de protection que j'ai accumulé avec mon métier. Ensuite, je me redresse, me retrouvant en position assise. Je fais rapidement le tour du lit et je prends mes aises en me laissant retomber sur le dos, sur le matelas moelleux, aux côtés de la jeune femme qui me regarde avec un drôle d'air. Je devine qu'elle se demande maintenant ce que je fais là. Pourtant, je pense qu'elle a compris : j'ai juste besoin de sa compagnie, juste besoin qu'elle me fasse oublier ces derniers mois, les confrontations avec Indie, l'enterrement de mon père.

Je tourne la tête dans sa direction, tandis qu'elle s'allonge à nouveau. Elle respecte mon silence ; j'ai cette désagréable certitude qu'elle lit en moi comme si j'étais un livre ouvert sur sa table de chevet et qu'elle dévorait avec avidité. Elle a toujours refusé de l'avouer, elle a même prétendu à une époque que je me fermais comme une huître, que je refusais de lui dire ce qui se tramait dans mon esprit ; pourtant, en ce qui me concerne, j'ai toujours eu l'impression que je n'ai pas besoin de le dire avec des mots, parce qu'elle devine tout de moi, parce qu'elle connaît mes gestes. Puis, je détourne le regard, le plante sur le plafond que j'étudie avec minutie. J'hésite, je ne sais pas ce que je suis permis de lui dire ou non ; nous avons été séparé par les années et malgré mon besoin indicible d'être dans sa vie, je ne sais quelle place elle est décidé à m'y laisser. ❝ Est-ce que tu es heureuse ? ❞ C'est très soudain, je l'admets, et peut-être que ce n'est pas ma place que de poser une question si intime, mais j'en ai envie depuis que je suis de retour. J'aimerais savoir si elle a fait les choses qu'elle voulait faire, si elle a atteint ses buts, si elle a aimé, et si elle a été aimée comme elle mérite de l'être. ❝ En général, je veux dire... J'imagine que ce n'est pas la joie, avec les évènements récents. ❞ Je précise en tournant la tête à nouveau vers elle.

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